Ghostland - Image une interview

Rencontre avec les compositeurs de la musique de Ghostland

C’est à l’issue de la projo de presse de Ghostland que Yann Danh, un ami de moyenne date (longue date c’est plus de 10 ans car on n’est pas si vieux que ça bordel. Si ? Faites chier tiens) mais aussi et surtout le réal de À tout prix, un court-métrage qui, lui, a bien fait date, nous propose de rencontrer Anthony D’Amario.

– Ok super, merci. Mais c’est qui ?

– Et bien pour ta gouverne Monsieur Sandy l’ignare, ce n’est rien de moins que l’un des compositeurs de la musique du film de Laugier.

– Ah ouais ? Mortel ! Tu as toute mon attention. Euuuuh mais attends là. Et comment tu le connais cet Antony, Monsieur je sais tout ?

– Ben c’est lui qui a fait la musique de À tout prix.

– Ah ! Ok ! Respect tout ça tout ça (je sais rester digne même dans la défaite du jeu de celui qui a le plus gros zgeg).

Ni une ni deux nous contactons le jeune homme qui du haut de ses 2m20 et 27 ans nous donne son accord. Il veut venir accompagné de Ed Rig, sidekick et compositeur comme lui sur le film ainsi que de Georges Boukoff, le superviseur musical en plus de sa casquette de compositeur itou. Là, on se dit que l’on se doit de trouver un écrin digne de ce nom afin que ce petit monde soit à l’aise pour nous livrer tous les secrets de l’aventure musicale de Ghostland.

Et quoi de mieux que Metaluna ? Meta quoi ? Metaluna Store enfin quoi. Le magasin culte de Paris où l’on peut encore trouver des VHS de Pinot simple flic ou du Prix du danger. Bruno Terrier, son taulier et ami lui de trèèèèèèèèès / troooooooop longue date, accepte de nous recevoir. Autant dire que l’on est aux anges puisque tout cela se fait un peu en dehors des sentiers battus mais avec un Pascal Laugier qui adoube la démarche. On en profite d’ailleurs au passage pour l’en remercier.

C’est que mine de rien, l’occasion était trop belle pour mettre en avant quelque chose dont on ne parle que trop peu souvent quand sort un film de nos jours. Et pourtant, l’histoire du cinéma est indissociable de la musique de films. On ne fera ici l’affront à personne de citer quelques noms majeurs ou non. On ne refera pas l’histoire, mais en rencontrant ces trois belles personnes, on contribuera nous l’espérons à remettre une pièce dans le jukebox. Allez, trêve de fioritures scripturales. Clap de synchro, comme dirait Yann, moteur, ça tourne… Enfin !

Image / montage / mixage / étalonnage / post-prod / expresso / compta / supporteur du PSG (comme moi) / cinéphile de très bon goût / East Asia / abonné chez SFR (on ne peut pas être bon dans tous les domaines) : Flavien Bellevue

Son : Yann Danh (tout a été dit sur ce personnage)

Remerciements : Bruno Terrier, Metaluna Store, Rurik Salle qui passait par là, Cédric Le Penru (car sinon il va nous faire un caca nerveux), Stéphane Argentin sans qui DC ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui et Sulleimane Ghalla.

  Lâchez-vous !

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *