Anderson Falls - Image une Iterview Julien Seri

Rencontre avec Julien Seri (et Yann Danh) à propos d’Anderson Falls

En septembre 2018, Julien Seri, fraîchement débarqué de Los Angeles, avait gentiment répondu à notre appel du pied. L’idée était qu’il nous parle de Anderson Falls, son dernier film en date, dont le tournage dans la cité hollywoodienne s’était déroulé durant l’été. Si vous êtes un fidèle du site, Julien Seri avait fait « l’insider » pour nous via un journal de bord qu’il enrichissait quotidiennement et dont nous avions pu en remonter l’essentiel via des compte-rendus hebdomadaires. Si vous avez raté ces épisodes, un petit tour par ici devrait vous permettre de rattraper cette première saison.

La deuxième c’est ci-dessus que cela se passe via un entretien fleuve mené de main de maître par notre ami Yann Danh qui originellement nous avait mis en relation avec Julien au-moment de la sortie de Nightfare, son précédent long-métrage produit, réalisé et distribué totalement en dehors du système. Et comme il n’avait pu être des nôtres à l’époque lors de cette première rencontre, il nous a semblé que celle-ci ne pouvait se faire sans lui. D’autant que l’on avait besoin de son micro… qui est d’ailleurs tombé en rade en pleine session. Et sans que Flavien Bellevue, en charge de la captation, s’en rende compte. C’est donc entouré de bras cassés que Julien Seri a joué bien volontiers le jeu d’une interview croisée qui 7 mois plus tard (oui 7 mois, des bras cassés qu’on vous dit) reste d’actualité tant la pertinence et surtout l’humanisme des propos de Seri restent prégnants (fin du passage de la pommade).

Car depuis, Anderson Falls n’a toujours pas trouvé de distributeurs alors qu’il convole après moult nouveaux montages vers le marché du film du prochain festival de Cannes. On ne sait si c’est un bon signe et comme nous ne l’avons toujours pas vu, on se gardera bien d’émettre un quelconque avis supplémentaire. On vous invite juste à partager ce moment avec nous où fleurait bon la bonne humeur, la sincérité et l’amour d’un réalisateur pour qui le cinéma est sa raison de vivre (après sa famille).

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