Jack Reacher Never go back - Image Une Fiche film

Fiche film : Jack Reacher – Never Go Back

Jack Reacher – Never Go Back est adapté du roman Never Go Back qui est le 18ème consacré au célèbre ancien major de la police militaire de l’armée des États-Unis, Jack Reacher. Il est sorti aux États-Unis en septembre 2013. Le premier volet était tiré de Folie Furieuse (One Shot en anglais), 9ème tome de la saga littéraire.

Jack Reacher : Never Go Back – 2016

Réalisateur :  Edward Zwick
Acteurs : Tom Cruise, Cobie Smulders, Danika Yarosh, Aldis Hodge, Patrick Heusinger, Holt McCallany
Durée : 1h58
Distributeur : Paramount Pictures France
Sortie en salles : 19 octobre 2016

Résumé : Jack Reacher est de retour, prêt à tout pour obtenir justice. Susan Turner, qui dirige son ancienne unité, est arrêtée pour trahison : Jack Reacher ne reculera devant rien pour prouver l’innocence de la jeune femme. Ensemble, ils sont décidés à faire éclater la vérité sur ce complot d’État.

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  • Avis express n°1 : Si le premier opus avait pu convaincre surtout par la prestation d’un Tom Cruise qui semblait s’amuser comme un petit fou en interprétant ce héros badass tout droit revenu d’entre les années 70, ce Never Go Back détruit à lui seul le début de crédibilité de ce qui semble devenir une franchise. Le problème vient surtout ici d’une mise en scène fatiguée à l’image de son acteur qui ne semble plus trop y croire. Il faut dire que la motivation première de son personnage est d’aller tirer un coup à Washington. Ou alors c’est que son jeu « tout en retenu » où l’œil torve se dispute avec un visage boursouflé et des épaules voûtées est une totale réussite. Après tout, nous n’avons pas la prétention d’être directeur d’acteurs. Mais là où le bât blesse franchement c’est dans le côté chiche des scènes d’action quand le premier polissait avec efficacité les bords du cadre et cette histoire tout droit sortie d’un épisode de Supercopter (et encore certains étaient d’une autre tenue) ou encore des Routes du paradis (ah cette image d’un Wild Cruise faisant du stop). Que dire enfin sur le bad guy aussi prévisible que ma belle mère un soir de réveillon ou de ce sous-plot expliquant la paternité aux scientologues. Si encore c’était drôle. 2/5 – Sandy Gillet
  • Avis express n°2 : Autant le premier Jack Reacher était racé et bien ficelé, autant cette suite est cousue de fil blanc et mollassonne au possible. Autant se revoir le cultissime Commando avec Schwarzy qui, 30 piges plus tard, envoie toujours autant le pâté ! 2/5 – Stéphane Argentin

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