Dans la vie d’un amoureux du cinéma que d’autres catalogueront de cinéphile, il y a des réalisateurs que l’on a du mal à aborder. À cela de multiples raisons. Mais la plus évidente est son degré de « chiantitude » avéré ou non. Ce « DC » (à ne pas confondre avec les initiales de ce site vous serez gentil merci) a, comme la célèbre échelle de Richter, sa graduation qui peut s’entendre ainsi :
De 1 à 3 : un ennui à peine ressenti par les personnes. On en ressort indemne
De 4 à 5 : il est nettement ressenti et peut causer un début de lésions oculaires si la personne souffre à l’origine du syndrome des yeux secs.
De 6 à 7 : il est destructeur et provoque invariablement un décrochement de la mâchoire
À 8 : il est de plus ressenti sur une grande partie du corps dont les symptômes les plus usuels sont frissons de fièvres, fracture de la rétine, rires nerveux, plaques sur le torse et, dans certains cas, coma passager.
À 9 ou au-delà : il est dévastateur. Toutes les structures motrices du corps sont atteintes et pour les cas plus graves, le bulbe rachidien ne répond plus. À tel point d’ailleurs que lors d’une éventuelle autopsie, le légiste se trompera souvent avec un AVC comme étant la cause du décès.
Depuis l’an de grâce 2019, Rimini nous gratifie de quelques perles plutôt bien senties en matière de cinéma d’angoisse made in USA, mais pas que puisque non bégueule l’éditeur furette aussi du côté du Canada, de l’Australie et du Royaume-Uni. Côté réals si tous n’ont pas eu les honneurs d’avoir une étoile sur Hollywood Boulevard comme Robert Wise, certains sont tout de même connus des férus de la chose à commencer par Dan Curtis, Roger Spottiswoode, Richard Franklin, Charles Kaufman ou encore Larry Cohen. Et que dire de Richard Attenborough ou de Jack Cardiff plus familiers des lecteurs de Positif que de ceux de L’Écran Fantastique ou de Mad Movies pourtant bien présents au sein de cette Collection Angoisse. Bref il y a de quoi faire à tel point que nous n’avons aucunement la prétention de lister toute la collection ici-bas mais juste les quelques titres qui nous ont tapés dans l’œil et/ou dont nous avons eu la chance d’avoir les galettes Blu-ray (ou DVD) entre les main dans le seul but de vous en parler en détail ou de manière sibylline. Bonne lecture et bonnes toiles.
À l’origine du film Les Derniers hommes, il y a eu une rencontre en 2015 entre David Oelhoffen et Jacques Perrin : « Il cherchait un réalisateur pour un projet qu’il portait déjà depuis plusieurs années. Il avait vu Loin des hommes, le film que je venais de terminer et qui avait des points communs avec son projet. Une histoire d’hommes chahutés par la guerre sur fond de colonisation, en l’occurrence la guerre d’Algérie dans Loin des hommeset l’Indochine pour Les derniers hommes. » – Voire notre rencontre filmée avec David Oelhoffen pour connaître la suite.
Vous reprendrez bien un peu de Saw en Ultra HD ? Ça tombe bien car Metropolitan persiste et signe avec le dixième opus de la saga et le quatrième disponible sur le support, Saw X que ça s’appelle, dans une édition Blu-ray 4K tout ce qu’il y a de plus recommandable.
À l’occasion de la sortie de WandaVision – L’Intégrale de la série (2021) de Matt Shakman chez Marvel, nous mettons en jeu 2 Combos Blu-ray 4K Ultra HD + Blu-ray Steelbook que nous vous proposons de remporter dans le cadre d’un petit jeu concours.