The Birth of a Nation est le premier film réalisé par le comédien Nate Parker. Il a investi 100 000 dollars de sa poche dans ce projet qui lui tient particulièrement à cœur. L’acteur souhaite en effet le porter à l’écran depuis 2009, date à laquelle il a commencé à en écrire le script.
Le film relate l’histoire de Nat Turner, esclave afro-américain né en 1800 et mort pendu en 1831. L’homme avait conduit une révolte sanglante et extrêmement violente en août 1831. Turner est décrit à l’époque comme un criminel sanguinaire. Il sera capturé dans son comté de Southampton en Virginie, jugé et condamné à mort. Son action révolutionnaire a malheureusement mené les autorités à voter des lois encore plus restrictives envers les esclaves.
Avec Seul sur Mars, adaptation du bestseller de Andy Weir, Ridley Scott revient à ses premières amours : une histoire d’exploration spatiale en forme de relecture de Robinson Crusoé. Continuer la lecture de Fiche film : Seul sur Mars→
Créé par l’auteur/dessinateur Rob Liefeld et le scénariste Fabian Nicieza, Deadpool est un anti-héros qui se rattache à l’univers Marvel. Particulièrement drôle et déjanté, le personnage apparaît pour la première fois dans le comic book New Mutants vol. 1 # 98. Continuer la lecture de Fiche film : Deadpool→
Cela fait une dizaine d’années maintenant que Spielberg regarde en arrière, qu’il scrute l’Histoire de ses contemporains avec toujours autant de tact et quelque part, de bienveillance. Munich, certainement son film le plus « dur » de cette période, n’échappe pas à ce constat. Tact de la mise en scène et bienveillance auprès de ses personnages. Le Pont des Espions semble éprouver une nouvelle fois ce « système » tout en l’amenant en des contrées encore inconnues chez un cinéaste obsédé par cette forme de justice immanente qui contrebalance de temps à autre l’indicible foutoir permanent perpétré par l’Homme.
On avait laissé Matt Damon plus mort que vif dans Interstellar, le voici pourtant à nouveau en plein syndrome de Robinson Crusoé dans le nouveau Ridley Scott. À la différence tout de même que dans Seul sur Mars, on a plus envie de croire aux théories scientifiques exposées avec force et détails ou de suivre la démarche d’un réalisateur dont la mise en scène plus ascétique que jamais confirme que l’homme sait où il veut emmener son cinéma depuis la formidable expérience Cartel. Ce qui, paradoxe novateur, n’en fait pas pour autant ici un bon film. Explication de texte et vous êtes priés de prendre des notes.